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Une équipe pluridisciplinaire mélangeant des acteurs du projet voile, des soignants et des membres de l’association.
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Armel TRIPON est actuellement le skipper de l’Ocean Fifty «Les P’tits Doudous» qui laissera prochainement sa place au port à un Imoca «Les P’tits Doudous». Armel navigue fièrement sous les couleurs de l’association mais porte également les valeurs de celle-ci à terre en exerçant un rôle de parrain depuis 2016.
Nolwenn est fondatrice et présidente de l’association Les P’tits Doudous. Depuis 2021, elle co-construit ce projet “Une course pour grandir” avec Armel.
En tant que directrice des opérations, elle orchestre toutes les facettes d'un projet de course au large. De la planification à la gestion opérationnelle, elle assure la coordination des ressources, des plannings, et des budgets. Elle navigue entre logistique, communication, et résolution de problèmes pour garantir le succès de chaque compétition en haute mer.
En tant que responsable technique, il veille à la performance optimale des bateaux en supervisant la maintenance, les réparations et les innovations techniques. De la gestion des systèmes de navigation à l'optimisation des moteurs, chaque décision est guidée par la recherche constante d'efficacité et de fiabilité en haute mer.
En tant que gréeur, il assure le montage précis des voilures, optimisant ainsi la performance des bateaux. De la sélection des matériaux à la configuration minutieuse des gréements, chaque nœud et chaque ajustement compte pour tirer le meilleur parti du vent. Sa mission ? Transformer les conceptions sur papier en structures navigantes, prêtes à affronter les défis les plus exigeants de la mer.
En tant que responsable impact environnemental, elle s'attelle à minimiser l'empreinte écologique du projet. De la mise en place de pratiques durables à la gestion des déchets du projet, chaque décision est guidée par le respect de l'environnement. Sa mission consiste à harmoniser la construction et la navigation d’un bateau avec la préservation de l’environnement, en sensibilisant les acteurs de la course au large aux enjeux écologiques.
En tant que technicien polyvalent, il assure une expertise technique à 360° sur tous les aspects du projet. Polyglotte des métiers, il intervient tant en mécanique qu’en électronique, en passant par la maintenance du matériel et l’optimisation des installations. Sur le ponton comme en atelier, il s’adapte à chaque défi pour garantir performance, sécurité et continuité des opérations.
En tant que chargée de communication et logistique, Johanna veille à la mise en lumière du projet tout en assurant son bon déroulement au quotidien. De la stratégie de communication à la gestion des déplacements, elle coordonne les actions terrain et les prises de parole, en passant par l'organisation des événements. Elle jongle entre visibilité médiatique et efficacité opérationnelle, avec pour cap la réussite collective.
En tant qu’ingénieur bureau d’études, son rôle consiste à concevoir des navires innovants, alliant performance et fiabilité. De la modélisation avancée à la sélection des matériaux, chaque détail compte pour créer des bateaux taillés pour affronter les éléments.
En tant que technicien composite, Paul façonne et répare les pièces essentielles du bateau avec rigueur et précision. Spécialiste des matériaux haute performance, il intervient au cœur de la structure pour garantir solidité, légèreté et performance. Dans l’atelier comme sur le ponton, il est un maillon clé de la fiabilité du bateau en mer.
En tant que technicien polyvalent, il assure une expertise technique à 360° sur tous les aspects du projet. Polyglotte des métiers, il intervient tant en mécanique qu’en composite, en passant par la maintenance du matériel et l’optimisation des installations. Sur le ponton comme en atelier, il s’adapte à chaque défi pour garantir performance, sécurité et continuité des opérations.
En tant que technicien composite, il contribue à la conception et à la construction des coques de voiliers, alliant innovation et performance. De la superposition minutieuse des fibres à la mise en œuvre des résines, il transforme les concepts en réalité, en assurant la solidité et la légèreté essentielles à la compétition en haute mer.
En tant qu’ingénieur mécanique, elle assure la performance optimale des bateaux de course. De la conception des mécanismes à la maintenance préventive, chaque rouage est scruté avec précision pour garantir une navigation sans faille, même dans les conditions les plus extrêmes.
En tant qu'ingénieur bureau d'études, son rôle consiste à concevoir des navires innovants, alliant performance et fiabilité. De la modélisation avancée à la sélection des matériaux, chaque détail compte pour créer des bateaux taillés pour affronter les éléments.
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SKIPPER | PARRAIN DE L’ASSOCIATION LES P’TITS DOUDOUS
Armel TRIPON est actuellement le skipper de l’Ocean Fifty Les P’tits Doudous qui laissera prochainement sa place au port à un IMOCA Les P’tits Doudous. Armel navigue fièrement sous les couleurs de l’association, mais porte également les valeurs de celle-ci à terre en exerçant un rôle de parrain depuis 2016.
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire coureur au large ?
J’étais skipper en croisière, je suis devenu coureur en goutant au solitaire en Figaro, sur une première course, la Route du Ponant en 2000 ! C’est marrant parce que j’étais concurrent avec Erwan Leroux qui était dans la même dynamique que moi ! J’ai tout de suite senti que c’était ma place, que jouer avec les éléments, les autres bateaux, devoir tout faire, ça me plaisait énormément. J’ai ressenti un bonheur indescriptible à naviguer comme cela. Ça m’a donné des ailes pour continuer et y croire !
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Je ne peux isoler un souvenir, j’ai plein de très bons souvenirs au large. Chaque course est unique et les moments en mer sont toujours très forts à vivre. Allez, si je dois en garder un seul, mon arrivée en Mini au Brésil en apprenant que je gagnais la course en pénétrant dans la Baie de Salvador !
Qu’est-ce que tu préfères dans ton rôle de directeur d’un team et qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Je suis super content de m’entourer de personnes très compétentes et motivées. C’est la beauté aussi de ce métier, agréger des compétences, les mettre en mouvement, créer un esprit, une motivation et l’envie de bien faire les choses. L’intelligence collective est fascinante. On va réussir à faire un très beau bateau, avec le sens que l’on souhaite donner.
PRESIDENTE DE L’ASSOCIATION | CO-FONDATRICE DU PROJET | SOIGNANTE
Nolwenn est fondatrice et présidente de l’association Les P’tits Doudous. En 2016, grâce à Moulin Roty, Nolwenn rencontre Armel. Et depuis, ensemble, ils construisent des projets de voile solidaire. En 2021, elle co-construit ce projet “Une course pour grandir” avec Armel.
Nolwenn est infirmière anesthésiste et travaille maintenant depuis plus de vingt ans au CHU de Rennes. En 2011, elle fonde l’association “Les P’tits Doudous” au CHU de Rennes. Grâce à l’entreprise Moulin Roty, fabricant de jouets, elle commence à offrir des doudous aux enfants hospitalisés. Les P’tits Doudous ont développé une multitude d’actions afin de réduire l’anxiété des enfants opérés et rendre le parcours opératoire plus ludique. Toutes les actions sont financées grâce à la revalorisation de déchets des hôpitaux. Ce modèle vertueux est répliqué par les 130 antennes locales. Pour ces actions, Nolwenn est nommée Chevalier de l’ordre national du Mérite en 2020 et Bretonne de l’année en 2022.
Après quelques années en réanimation neuro chirurgicale à l’hôpital Necker, j’ai souhaité approfondir mes connaissances et travailler avec les enfants au bloc opératoire. Je travaillais en réanimation avec des anesthésistes, ce sont eux qui m’ont poussé à faire cette spécialisation.
Qu’est ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
La voile a toujours fait partie de ma vie, en loisirs puis en compétition. Donc après mes études de communication c’est tout naturellement que j’ai cherché à travailler dans le nautisme puis la course au large.
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
En travaillant, je dirais que c’est le départ de la Route du Rhum 2014… C’était mon premier départ de grande course ! Un mélange de stress et d’émotions.
Mais sinon, je crois qu’un des moments les plus marquants, c’est le chavirage de Thierry Dubois sur le Vendée Globe 2016. J’avais une dizaine d’année à l’époque et j’étais passionnée par ces récits de course. J’ai toujours la revue de presse que j’avais fait à l’époque.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier et qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Travailler pour un projet qui a du sens. Ce que j’aime le moins, c’est peut-être cette course frénétique à l’argent que ce milieu amène. Cette « course » à l’innovation enlève un peu ses valeurs d’aventures et de solidarité que l’on pouvait retrouver dans les courses d’avant.
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
J’ai connu Armel d’abord en 2014, par le biais de mon frère qui travaille aussi dans ce milieu. Puis, en restant aux côtés d’Armel, j’ai naturellement connu Nolwenn et les P’tits Doudous. Ma première rencontre avec Nolwenn c’était sur la préparation du Vendée Globe 2020.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
La Transat Jacques Vabre… J’aime le côté plus intimiste de cette course.
RESPONSABLE TECHNIQUE
Naviguer sur des bateaux rapides. L’esprit de compétition et relever des défis. L’adrénaline que tout cela procure. Travailler et partager avec des gens passionnés.
La Transat Jaques Vabre en Multi 50 en 2017 avec Armel, du départ jusqu’à l’arrivée. Je l’ai vécu comme un vrai rêve de gosse !
Je préfère naviguer, j’aime moins passer trop de temps derrière un ordinateur ou en chantier.
GRÉEUR
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
Comme beaucoup de personne dans l’équipe, c’est la passion qui m’a poussé à faire ce métier.
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Un lever de soleil.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier et qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Ce que je préfère, c’est quand le bateau navigue et ce que j’aime le moins c’est la période où le bateau est en chantier.
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
J’ai connu Armel quand j’ai commencé à travailler avec lui sur l’Occitane puis j’ai continué l’aventure à ses côtés avec Les P’tits Doudous.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
RESPONSABLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
J’ai alterné des métiers dans l’environnement et des formations purement dans la voile. Je rêvais de pouvoir allier les deux et je n’ai donc pas hésité une minute lorsqu’on m’a proposé de rejoindre l’équipe en tant que chargée de l’impact !
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Étonnement, une des courses qui m’a le plus marquée est le Vendée Globe… pendant le Covid. Cette course a été une source d’évasion fabuleuse.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier et qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Ce que je préfère, c’est trier les déchets à plusieurs et ce que j’aime le moins c’est trier les déchets seule. Plus sérieusement, ce que je préfère est de voir que toute l’équipe (toutes les équipes du “bureau” et tous les opérateurs) se sentent très concernés par l’impact environnemental du projet et sont prêts à déployer beaucoup d’énergie pour faire mieux. Contrairement à l’innovation technique, pas besoin de “cacher” ses découvertes. Dans le domaine de l’environnement, au contraire, chaque découverte de nouvelles pratiques est une bonne chose, on peut la partager largement et cela créé un réel engouement.
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
Depuis que je m’intéresse à la voile, j’ai entendu parler d’Armel et par un (vertueux) ricochet, j’ai découvert l’association Les P’tits Doudous.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
La Transat Jacques Vabre !
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
Après les études, je suis parti en voyage sur mon p’tit bateau, ensuite tout s’est enchaîné, convoyage, école de voile, petit boulot et un jour un certain Francis Joyon m’a demandé si je voulais travailler pour lui…
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Le plus beau souvenir de course, c’est facile ! La victoire de Francis sur la Route du Rhum. On était une petite équipe de cinq, contre des énormes team d’Ultim où ils sont 20-30 personnes.
Ça demande une énorme implication. C’était une victoire pour chacun de nous, et une récompense pour toute la confiance que Francis nous donnait.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
J’aime mettre au point un bateau et aller vérifier le résultat sur l’eau, trouver les meilleurs réglages, optimiser… et y a le côté voyage bien-sûr. J’ai visité la Chine, Hong Kong, le Vietnam, l’Ile Maurice, Copenhague, la Corse, l’Italie, Malte… Grâce à ce métier et au bateau !
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
J’ai connu Armel et Nolwenn a la fin d’un tour Europe à bord d’IDEC Sport. C’était un tour d’Europe pour l’association « The Arch » engagée dans la transition énergétique.
Armel et Nolwenn y ont présenté leur projet et ça m’a beaucoup motivé à travailler pour un beau projet humain comme le leur.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
La route du cidre !😅 À Dinan, chez moi !
Il n’y a pas autant de foule que sur les grandes courses, je ne suis pas un adepte de la foule.
Je préfère les records à la voile, il y a moins de monde sur le départ.
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
Aillant grandi à la Trinité-sur-Mer, j’ai toujours été proche des bateaux et de la course au large. C’était donc une évidence pour moi de travailler dans ce milieu qui me passionne.
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Mon premier départ de course en tant que chargée de communication, lors de la Transat Jacques Vabre 2023 (j’ai versé ma p’tite larme).
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
Faire partie d’un projet engagé, qui a du sens et pouvoir naviguer dans la plus belle baie du monde sur un bateau volant…
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
Je voyais souvent l’Ocean 50 Les P’tits Doudous dans le port de La Trinité, j’ai entendu qu’ils cherchaient quelqu’un pour leur communication de leur logistique alors j’ai sauté sur l’occasion.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
Le Vendée Globe !! J’ai fini mon premier Vendée Globe cette année (sur Virtual Regatta…
INGÉNIEUR BUREAU D’ÉTUDES
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
La passion pour la course au large et la mer.
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Je garde un très bon souvenir du Vendée Globe 2012, avec la victoire de François Gabart, c’est un de mes premiers souvenirs de course au large.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
Ce que je préfère dans mon métier, c’est le fait de mêler aventure, technique et performance.
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
J’ai appris dans la presse qu’il lançait son projet Vendée Globe donc je l’ai contacté pour rejoindre l’équipe.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
Le Vendée Globe ! Ça fait toujours un truc particulier !
Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
Pratiquant la voile et la régate depuis tout petit, j’ai toujours été attiré par la course au large. J’aime aussi bricoler pour optimiser des systèmes, et le métier de préparateur me permet de concilier ces deux univers.
Quel est ton plus beau souvenir de course au large ?
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
La diversité et la recherche de performance.
Comment as-tu connu Armel et Les P’tits Doudous ?
J’ai toujours suivi les courses d’Armel, et je connais depuis de longue date un de ses anciens préparateurs.
Venant du milieu paramédical, je connaissais très bien l’association Les P’tits Doudous.
Ta course à la voile préférée, ce rendez-vous professionnel que tu ne veux pas louper ?
Ayant vécu en Guadeloupe quelques années… j’avoue que j’ai un penchant pour la Route du Rhum. Voir Armel arriver avec Les P’tits Doudous dans les voiles à Pointe-à-Pitre, me plairait énormément !
TECHNICIEN COMPOSITE
INGÉNIEUR MÉCANIQUE
INGÉNIEUR BUREAU D’ÉTUDES
Qu’est ce qui t’a poussé à faire ce métier ?
Le métier de bureau d’étude intégré à une équipe de course au large n’existait pas en 1999. Ayant eu un cursus d’étude avec en partie du sport étude, je trouvais intéressant d’allier navigation et d’associer aspect chantier et aspect conception. La course au large était un bon support pour s’épanouir et du coup j’ai proposé ce concept novateur à Franck Cammas à l’époque. L’idée a fait école d’abord sur les projets assez gros en multicoque. Puis les projets IMOCA se sont mis petit à petit à adopter ce concept de bureau d’études intégrés complémentaire aux architectes et aux chantiers par besoin, ces voiliers étant devenus de véritables laboratoires d’innovations.